Candice Magnétisme

Code de déontologie Candice Magnétisme

Le présent code de déontologie est le socle de Candice Magnétisme ainsi que des personnes ayants validés leur certificat d’aptitudes en Magnétisme lors des cours que je réalise. Il définit nos engagements envers le public, les personnes que nous recevons en séances et notre profession. Il garantit une éthique professionnelle.

Article 1
Le praticien réfère son exercice aux principes édictés par la législation nationale, européenne et internationale sur le respect des droits fondamentaux des personnes et spécialement de leur dignité, de leur liberté et de leur protection.

Article 2
Il s’engage à interdire toute propagande ou prosélytisme religieux ou idéologique au sein de leur cabinet ou lieux d’intervention et à lutter contre toutes les dérives sectaires dont ils seraient témoins.

Article 3
Le praticien s’engage à respecter la confidentialité des informations collectées durant leurs accompagnements individuels ou de groupes. Il préserve la vie privée et l’intimité des personnes en garantissant le respect du secret professionnel.

Article 4
Les photos, les enregistrements audio ou vidéo en séance ou séminaire ne sont possibles qu’avec l’accord préalable de la personne ou de son représentant légal.

Si le praticien souhaite utiliser des informations sur une personne lors d’une conférence, une formation, étude de cas, publication…, il est tenu de préserver l’anonymat de la personne (nom, lieu, et autres éléments spécifiques) afin que celui-ci ne puisse être identifiée.

Le praticien qui prend des notes, devra, en cas de demande du client, détruire ces notes.

Article 5
Aussi, il s’engage à ne pas diffuser d’informations pouvant induire le public ou les médias en erreur ou nuire à l’image de la profession.

Le praticien s’engage aussi à user de son droit de rectification auprès des médias afin de contribuer au sérieux des informations communiquées au public sur les méthodes.

Article 6
Il s’engage à actualiser régulièrement ses connaissances et compétences afin de répondre aux attentes du public et aux évolutions de la profession.

Article 7
Le praticien s’engage à différencier les méthodes qu’il utilise, à demander l’accord des personnes avant de pratiquer telle ou telle méthode, mais aussi à ne pas dénaturer ou amalgamer les techniques entre elles sans que leurs clients en soient avertis.

Article 8
Celui-ci s’engage à respecter les limites de leurs compétences et à orienter leurs clients vers un autre professionnel lorsque ceux-ci nécessitent un traitement ou une aide thérapeutique.

Article 9
Il s’engage à ne jamais se substituer aux professionnels de santé, à ne pas prodiguer de diagnostic, de prescriptions médicales et à ne pas interférer avec des traitements médicaux en cours.

Article 10
Le praticien s’engage à conserver son éthique professionnelle lorsqu’il intervient sous l’autorité d’une entreprise, d’un organisme, d’un club ou association sportive.

Article 11
Lorsque le praticien s’engage dans un processus de soin, l’obligation d’obtention de résultat n’est pas requise. En revanche, il lui appartient d’assurer les meilleurs soins et de stopper les séances s’il ne pense pas obtenir de résultat.

Article 12
Le bien-être du client est prioritaire et le praticien s’engage à le prioriser avant tout avantage financier.

Article 13
La vente de produits ne fait pas partie des pratiques de Candice Magnétisme. D’après mes valeurs, un praticien dans le bien-être s’engage à ne pas entrer dans un rôle de vendeur de produits, car cela nuirait à la relation thérapeutique.

Article 14
Il en est de la responsabilité éthique du praticien de refuser toute intervention n’entrant pas dans ses champs de compétences.

Article 15
Primum, non nocere (d’abord ne pas nuire) en tout temps et en tous lieux, le praticien respectera le Serment d’Hippocrate.

La relation client – praticien

La notion de relation thérapeutique fait référence à la dimension relationnelle dans les soins entre le praticien et son client.

Cette relation thérapeutique est fondée sur la confiance, le respect, l’intimité, la protection du consultant et l’emploi judicieux du pouvoir conféré aux praticiens.

Si le client est mineur ou personne vulnérable (au sens de la législation), le praticien devra se référer à la législation en vigueur.

Le praticien doit ainsi être conscient de la dissymétrie possible de la relation, des transferts pouvant aller jusqu’à une réaction thérapeutique négative qui engage sa responsabilité professionnelle.

Le praticien ou le client peut aussi manifester consciemment ou inconsciemment des attitudes qui ne sont pas favorables au maintien de la relation thérapeutique, il s’engage alors à interrompre la relation et à toujours faire passer le bien-être de son client en priorité.

Le praticien devra en toute circonstance faire preuve de prudence, de mesure, de discernement et d’impartialité.

Le praticien s’interdit tout abus de pouvoir et d’influence. Il a pour obligation de ne pas exploiter une relation professionnelle à des fins personnelles, de prosélytisme, religieuses, sectaires, politiques, économiques, affectives, sexuelles ou en vue de tout autre intérêt idéologique.

Le praticien se doit d’être conscient que tout autre type de relation, sentimentale ou sexuelle, parallèle à la relation thérapeutique, altère le processus thérapeutique.

Tous contacts d’ordre physique se doivent d’avoir uniquement une intention thérapeutique et le consentement du patient préalablement requis.

Circonstances exceptionnelles – Les dérogations légales au secret médical

Le secret médical peut être levé dans trois cas : sévices ou privations sur mineur ou personne vulnérable ; violences sexuelles (si la victime autorise la levée du secret) ; et lorsqu’un individu « détenant une arme à feu ou ayant manifesté l’intention d’en acquérir une » présente « un caractère dangereux pour lui-même ou pour autrui » (article 226-14 du Code pénal.)

1- Il peut y avoir des situations où le client ou son environnement représente un danger pour lui-même ou pour les autres. Le praticien « doit mettre en œuvre tous les moyens susceptibles de porter secours à une personne en péril. »

2- Si les mesures prises par le praticien modifient le contrat de confidentialité initialement établi, le client est informé de ce changement, dès que possible.

Seules les informations nécessaires et utiles à la protection du client seront communiquées. Les clauses de confidentialité seront rétablies dès que la situation le permettra.

3- Si le client informe le praticien de sévices, de violences, de situation d’abus, il devra évaluer la situation et prendre les mesures nécessaires à la protection de son client, en respectant la législation en vigueur sur ce sujet.

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